jeudi 13 mai 2010

Vive la république...


En 1910 est instaurée la 1ère République portugaise.
En 2010, à l'occasion de la visite du pape au Portugal, le gouvernement, républicain, permet aux fonctionnaires de prendre leur journée, payée, pour qu'ils puissent aller à sa rencontre. Ce cher Benoît qui, dans son premier discours, selon Rui Tavares, n'a fait qu'une seule référence à un Portugais : Manuel Cerejeira, feu le cardinal de Salazar. Pendant ce temps, l'alliance gouvernante PS-PSD annonce toute une série de mesures pour satisfaire les exigences du marché. Je vous laisse répondre à la question : qui va payer ? Je me contenterai d'en poser une autre : pourquoi cette propension des Portugais à croire aux miracles ?

dimanche 2 mai 2010

Démocratie ?

L'agence de notation Standard & Poor's a "baissé les notes" de la Grèce et du Portugal...
La population de ces deux pays va devoir "payer la crise".

Profits, profits, profits. Toujours plus...
Elles n'ont plus peur de rien, nos élites économico-politiques : le système déconne à pleins tubes, pas grave, ils continuent à se gaver de fric, les gouvernements leur font des prêts d'amis, et l'argent qu'ils multiplient comme des petits pains virtuels, cet argent il est volé aux populations par les gouvernements qui leur sucrent petit à petit tous leurs droits sociaux et tous leurs service publics.

En résumé, pour eux t'es qu'une machine qui doit produire leurs profits. Et si t'es pas content, démerde toi ! Et si tu la ramènes trop, va voir en prison si j'y suis !

Jusqu'à quand les laissera-t-on se foutre de notre gueule à ce point ?