vendredi 30 avril 2010

En mai fait ce qu'il te plaît



Le 1er mai des précaires portugais rejoindra ensuite la manifestation organisée par la CGTP, histoire de rappeler qu'un précaire n'est rien d'autre qu'un travailleur sans travail fixe.

mercredi 28 avril 2010

Citation du jour # 10 | Il y a toujours quelque chose en nous de corrompu


"Cette sentence est un signal donné à la société portugaise : ce n'est pas la peine de combattre la corruption. Ce pays appartient aux corrupteurs et aux corrompus. C'est le pays que nous méritons, parce que c'est le pays qui correspond à la culture dominante. (...) La majorité de la population étant complaisante avec la corruption, il n'est pas surprenant que certains magistrats le soient également."

Citation de Ricardo Sá Fernandes, avocat et plaignant débouté, frère d'un conseiller municipal de Lisbonne qu'un administrateur de l'entreprise Bragaparques, Domingos Névoa (en photo ci-dessus), a voulu acheter pour 200 000 €. Malgré les enregistrements de conversations entre les intéressés, les juges n'ont pas retenu la charge de corruption.

mardi 27 avril 2010

Qui est Ricardo ?

PIDE ? ça vous dit rien ?
Regardez le film de José Barahona (35 min, en portugais sans sous-titres) :



Où la torture est bien une pratique universelle et sans frontières, humaine donc, trop humaine.

lundi 26 avril 2010

Ecritures luso-descendantes : histoires de femmes ?



Quelques noms entendus ici ou là : Katherine Vaz, américaine, Erika de Vasconcelos, canadienne, et Brigitte Paulino-Neto, française... Trois femmes ayant des ascendants portugais et qui publient dans leur langue qui n'est plus la portugaise.
Il doit bien y avoir des hommes qui traînent aussi. Je chercherai plus tard.
En tout cas, si vous avez l'occasion de lire ces auteures, dites-moi ce que vous en avez pensé, je l'ai pas encore fait, bientôt, sans doute, mais pas encore.

A l'abordage !


Copyright : Michel Puech

Une photo de l'élan du 25 avril 74.
Voir d'autres photos du même auteur ICI.

dimanche 25 avril 2010

Héritages

"Entre autres choses, le 25 avril 1974, la fameuse Révolution des Oeillets, a permis de (re)conquérir : la liberté syndicale, le droit de grève, un salaire minimum, les congés payés, etc.
36 ans plus tard, le Portugal compte près de 2 millions de travailleurs précaires, près de 600 000 chômeurs dont près de la moitié ne perçoit aucune indemnité de chômage, et le volontariat forcé s'est institutionnalisé avec les contrats d'insertion."

Quelques lignes traduites du blog FERVE.

vendredi 23 avril 2010

PTT en France, CTT au Portugal



Privatisation des PTT, en portugais, se dit "privatisation des CTT".
Des sigles un peu différents, mais la même destruction de services publics et suppression de postes de fonctionnaires pour faire des économies sur le dos de la majorité de la population.

Comme quoi, les sigles, faut se méfier : UMP en France, PS au Portugal, en termes postaux, ça veut dire la même chose.

jeudi 22 avril 2010

Le camp de la mort lente


Un documentaire sort sur les écrans portugais à l'occasion du festival du film indépendant de Lisbonne IndieLisboa avec des entretiens d'anciens prisonniers du camp d'internement salazariste de Tarrafal au Cap-Vert :
"Tarrafal - Memórias do Campo da Morte Lenta", réalisé par Diana Andringa.

Si vous êtes dans le coin...